Uchronie : bio du groupe (ou groupe bio ?)
Tout commence le 31 octobre 2009 au Koto, lieu de vie et de musique au sud-ouest de Paris.
Gaël et Gilles (Gilles: guitare, Gaël : chant) captivent une trentaine de spectateurs lors d'un Koncert privé suivi d'une Konfituur (jam-session à la française), durant laquelle "la mayonnaise" prend entre le duo qui sort de scène et celui qui habite les lieux (Rachel: claviers et Philippe: batterie, percussions). Les bases d'un nouveau répertoire mêlant chanson et poésie sont jetées les mois suivants, et le groupe, qui se cherche encore un nom, teste la nouvelle formule en quelques concerts…
La machine est lancée en même temps que le nom est trouvé: Uchronie, un improbable (ici et) maintenant intemporel entre hier et demain. Il faudra un an de plus pour bâtir leur répertoire de "chanson rock", autour de la guitare-qui-ne-s'arrête-jamais-de-pondre-de-la-musique de Gilles et des textes écorchallucinés de Gaël, sur lesquels s'enroulent les claviers-liserons de Rachel, tandis que la batterie de Philippe tente d'ancrer l'ensemble à la Terre. Les aléas de la vie orchestrent l'arrivée d'Emilie,la-chanteuse-qui-est-là, qu'Uchronie attendait sans le savoir. Une pincée de répétitions précède le concert fondateur du 11 septembre 2011 sous le kiosque du Luxembourg, avec le titre-phare "Ecris-moi" illustré par une performance de Jérôme Mesnager (le père des corps blancs).
Un nouveau duo, Gaël-Emilie, se superpose aux deux autres, faisant alterner, se mélanger ou se répondre leurs deux chants au fil des morceaux. La gestation continue, le répertoire mute, Premiers enregistrements au studio du Koto.
Été 2012, à peine cinq mois avant la peut-être fin du monde, Uchronie en Cotentin soutenu par une armée de vidéastes et monteurs, tourne deux clips et compose son hymne "We are the rainbow".
Été 2013, Uchronie part à la découverte du Japon (et vice-versa) au World Music and Dance Festival de Hakodate, dans le Hokkaido...
